Philippe et Sandrine SENEGAS et leur fils, gérants
Comment avez-vous eu l’idée de confier votre problématique aux étudiants de l’école ?
Lors d’un échange avec un représentant de la CMA (Chambre des Métiers et de l’Artisanat) du Tarn qui nous accompagnait sur le dossier de notre labellisation « entreprise zéro déchet ». Il nous a parlé de l’école des mines d’Albi et de leur partenariat avec des entreprises sur des problématiques environnementales, économiques ou structurelles.
Au départ, qu’est-ce que vous attendiez de leur travail ?
Que les étudiants recherchent des solutions, des idées de réutilisation des boues générées lors du sciage des blocs de granit.
A l’arrivée, en quoi cela a fait évoluer votre projet ?
Les étudiants ont trouvé plusieurs pistes. Nous ne pensions pas à de telles possibilités. Nous allons continuer nos recherches pour arriver à la solution la plus adéquat pour l’entreprise.
Quelle charge de travail pour vous ?
Aucune car le travail de recherche a été fait par les étudiants. Nous les avons accompagnés tout au long de leur parcours lorsqu’ils avaient besoin d’informations. Nous nous sommes rendu sur le site de l’école lors des échanges prévus. Pour nous cela faisait parti de notre partenariat de donner du temps et de suivre leur travail au fur et à mesure des avancées. .
Une surprise, un étonnement au cours de ce travail ?
Nous ne connaissions pas l’école des mines d’Albi avant cet échange. Nous sommes ravi et heureux de voir que notre problématique a été pris au sérieux et avec une motivation réelle de la part des étudiants mais également du corps enseignant.
C’est encourageant pour nous de voir que des possibilités existent et nous espérons pouvoir continuer cet échange avec l’école des mines d’Albi.